Elle était avant, un ancien sentier qui traversait des près marécageux le long de l’Orneau, où on menait les oies. A la fin de la rue donc se trouve ce qu’on appelait en ancien langage le « Bed d’Auwe » , le bain des oies, ce qui a donné le nom à l’endroit et au moulin. Enfin, on le suppose. La rue des Oies commence au bas de la rue Vôte, à droite, en face des anciens abattoirs.
Sur la droite, l’arrière et parking au Centre Culturel, ancien abattoir.
A gauche de la rue, on trouve l’embranchement avec la rue du Culot qui monte vers Grand-Manil
Presque en face, se trouve la bibliothèque communale baptisée Andrée Sodenkamp (1906-2204),
qui avait été faite citoyenne d’honneur de la ville. Devenue Madame Libotte en 1938.
Sur la droite en rentrant dans la rue, une espèce de parking qui longe la bibliothèque
(que l’on voit sur la gauche de la photo)
Après le croisement du Culot, on entre plus loin dans la rue.
On continue la progression dans la rue. A droite, derrière le garde-fou coule l’Orneau
Le fil de l’Orneau. En haut de la photo, l’amont, vers la place Lacroix.
Le fil de l’Orneau. En haut de la photo, l’aval, vers le Moulin du Bedauwe.
Ici, on arrive au bout de la rue (sur la gauche) qui se termine en cul-de-sac.
Sur la droite va commencer le chemin de la Rochette.
Nous sommes dos à la station d’épuration.
Vue du bout de la rue depuis le chemin de la Blanchisserie.
A droite de la maison, le long de la haie, début du chemin de la Rochette.
A l’avant plan, après la prairie le cours de l’Orneau (herbes jaunies)
A la fin de la rue sur la droite, l’Orneau continue vers le moulin du Bedauwe
La station d’épuration
—————————————————————-
On retourne vers la place Lacroix. L’Orneau sur la gauche.
Photo précédente: à peu près le même endroit dans le passé
Arrivée de la rue des Oies à la place Lacroix. Au fond, tout droit, la rue Ste-Adèle.
Sur la droite après le poteau, le début de la rue de la Vôte.
Travaux en bout de rue, début des années 80 pour le placement d’un collecteur d’égoût.
c’est dans cette rue qu’habitait Emile DEPIREUX dit Mimile Cougnaux, couvreur de son état, sapeur pompier et qui un jour avait adopté un petit lion dont il dû se débarrasser par la suite.
J’aimeJ’aime