Anciennement rue Haute-Bise. Ce nom rappelait l’action du vent froid du nord qui s’engouffrait avec violence dans la pente de la rue. Elle est l’échine du quartier qui était appelé Blessémont au Moyen-Âge. Depuis l’après-guerre, elle a été rebaptisée du nom d’un prisonnier politique décédé au camp d’extermination nazi de Dachau. Elle relie la Place de l’Orneau à la Chaussée de Charleroi. Dans le sens de la montée, en bas de la rue à gauche s’ouvre l’impasse Choppaye. Plus haut à droite, la rue Malaise, plus haut à gauche la rue Tremblez, plus haut, elle coupe la rue Hambursin, et enfin, avant d’arriver à la chaussée, la rue Namêche s’ouvre sur sa droite.
——————————————————————————
En montant vers la chaussée de Charleroi
Au bas de la rue. A gauche, après la première maison sur la photo, s’ouvre l’impasse Choppaye
En haut de la photo, avant le virage de la rue, à gauche, le funérarium Libaux
Après le funérarium, en haut de la première partie de la côte, s’ouvre à droite la rue Malaise
un rien plus haut, la rue reçoit à gauche, la rue Tremblez.
A droite, au gros arbre, la villa du Docteur Dubois
à l’intersection avec la rue Hambursin. Un peu plus haut à droite, après les voitures garées, la rue Namêche
Juste après la rue Namêche.. En haut, la chaussée de Charleroi.
—————————————————————————–
En descendant…
De la chaussée de Charleroi, ouverture de la rue vers la place de l’Orneau et le centre-ville.
A gauche, après la haie, ouverture vers la rue Namêche
Juste après la rue Hambursin; sur la gauche, à hauteur de la voiture bleue, la propriété du docteur Dubois
Après le croisement de la rue Tremblez. A gauche, à l’immeuble à la façade blanche, la rue Malaise
Clic sur logo ⇒ une partie de la rue en 1925 avec magasin de peinture Libaux
Coin de la rue Malaise et Gustave Masset – vers 1920
auteur inconnu © DR
Sur la gauche, une aile du Collège Saint-Guibert, dans le fond, la place de l’Orneau et la rue Léopold.
encart publicitaire – Courrier de l’Entre Sambre et Dyle
juillet 1957
super les photos de la rue Gustave Masset, j’ai habité au n° 26 de 1950 à 1963, puis au n° 45 depuis 2002, sur l’ancienne photo de Lucien Hoc, je me rappelle de toutes les maisons et de leurs habitants Monsieur Libaux, d’abord peintre, la maison de l’ancien Bedeau de Gembloux le magasin Quoistiaux où on trouvait tout, le facteur était l’ami des familles, il rentrait boire un petit café ou un goutte en hiver … c’était un temps où les nombreux enfants jouaient dans la rue, les adultes papotaient sur les seuils des portes, peu ou pas de TV, pas de réseaux sociaux donc ………beaucoup de vrais contacts. En hiver les parents se rassemblaient pour jouer au whist. Il y avait une laitier (au début une charrette tirée par un cheval), un boulanger un marchand de glaces « artisanal qui passaient régulièrement, et Monsieur Lecouturier qui ramassait les poubelles avec un énorme camion. De nombreux enfants descendaient à pied pour rejoindre les écoles et « parfois » on voyait passer un bus qui amenait les enfants des villages, on pourrait en parler longtemps de notre « vieux Gembloux »
J’aimeJ’aime
J’ai aussi habité à la rue Gustave Masset au N° 11 de 1959 à 1963. J’ai passé la plupart de mes dimanches chez les Libeaux, me souviens aussi du Bedeau, des 2 sœurs Quoistiaux. Et tout en haut de la rue il y avait l’infirmière Thérèse ?? épouse de Paul Michaut, que de souvenirs. La maison qui fait le coin avec la Chée de Charleroi, c’était si je me souviens la boulangerie Mickiels.
J’aimeJ’aime
Mon oncle, José Desmet, qui a été de nombreuses années employé de la Ville, résidait jusqu’à il y a quelques années au numéro 23.
J’aimeJ’aime