Le parc du château, comme on disait dans le temps…. Ou le parc Gérard, enclavant la maison du Bailli, surplombant l’ancien d’Hôtel de Ville. Il est rebaptisé Parc d‘Epinal en commémoration du jumelage de Gembloux avec cette ville des Vosges en France, en 1975 |
photo JM Gilles – septembre 2016
La réalisation du nouveau parc, de l’esplanade et de l’Hôtel de Ville en 2015, correspond au quarantième anniversaire de notre jumelage. Au milieu du parc, une petite statue sous cloche et sur piédestal a été offerte par le maire d’Epinal, monsieur Michel Heinrich à la ville de Gembloux. Elle représente « Pinau », l’enfant à l’épine, qui est le symbole de la ville d’Epinal, d’après un bronze antique du sud de l’Italie, dont le nom est « Le Tireur d’épine ». |
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Au fond à droite, le carrefour entre les rues du Huit Mai, Albert et Docq.
A droite on voit l’Académie, ancienne clinique Delrue, où, à l’époque,
quelqu’un aurait pu aider ce pauvre Pinau à se débarrasser de cette maudite épine….
en 1964 – L’entrée du parc, en face de l’athénée, rue Docq, et le château Gérard.
© Lucien Hoc
A droite la rue du Chien Noir en contrebas et en face, la silhouette de l’Athénée Royal, rue Docq
A gauche de l’esplanade, le long de la rue Docq.
Depuis le talus qui surplombe la rue du Chien Noir; le côté de la maison du Bailli.
Du même endroit, vers l’Athénée…
L’arrière du parc, derrière la maison du Bailli, face au côté du nouvel hôtel communal.
Vue générale vers l’esplanade, de l’arrière de la partie « parc »
Démolition des anciens bureaux de la rue du Huit Mai pour la construction du nouvel Hôtel Communal
Vue opposée depuis l’esplanade, dos à la rue du Huit Mai; le parc longe la rue Docq
Couché sur un petit monticule devant le chemin qui longe la tour du guet (voir Remparts), le bas relief représentant nos 3 cléfs surmontées de la couronne. |
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