Chaussée de Tirlemont. Construit par Alfred Melotte, propriétaire de la fabrique de charrue Mélotte (chaussée de Wavre). En 2000, le Cercle Royal d’Art et d’Histoire nous rappelle « qu’après sa démolition, il a été remplacé par un autre bâtiment transformé à l’époque en hôtel le « Britannia Bowhill ». » (1)
Jean-claude Brabant (voir le commentaire d’article) nous précise que les deux bâtiments, l’ancien et le nouveau ont longtemps coexisté, le nouveau restant pendant de nombreuses années à l’état de gros-oeuvre On voit en effet sur les anciens documents que le château est bien plus proche |
à gauche, les toits de l’usine devant la gare
avec la chaussée de Tirlemont vers Sauvenière
cartes postales d’époque sur Delcampe.net
non datées – auteur inconnu © DR
document courtoisie Frederik Descampe
Le château Mélotte avec à l’arrière-plan les bâtiments de l’usine, alignés le long et derrière la chaussée de Wavre. La photo de 1912 est vraisemblablement prise depuis la propriété Ledocte, de l’autre côté de la chaussée de Tirlemont, chaussée que l’on voit au premier-plan derrière le mur blanc d’enceinte du jardin
document courtoisie Frederik Descampe
Arthur Mélotte et son épouse Hélène dans le potager de la propriété en 1943
LE JARDINIER
document merci à Jean-Pierre ANDRÉ (fils de Marcelle Dormal)
La maison du jardinier de la famille Melotte, Fernand DORMAL, en 1936.
On voit sur la photo ses deux filles Marcelle et Yvette. Cette dernière épousera Marcel Jaspart
qui fut échevin des travaux à Gembloux. Le papa de Marcel était cordonnier rue du Coquelet.
photo jm Gilles – août 2016
La même maison actuellement, chaussée de Tirlemont, à l’extrême droite de la photo.
juste après le rond-point Levy (La Croisée) en direction de la gare.
Le deuxième bâtiment Britannia Bowhill
Le bâtiment est occupé au moment de la photo par un organisme bancaire
(1) Gembloux, ma Ville, mon Village – 1999 – Walloprint
Le château n’a pas été remplacé par la nouvelle construction après sa démolition. les deux bâtiments ont longtemps coexisté, le nouveau restant pendant de nombreuses années à l’état de gros-oeuvre
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