La rue Joseph Laubain s’articule à gauche de la Chapelle Dieu, dos au passage à niveau, et va rejoindre l’avenue des Combattants.
Elle portait le nom de « Rue de la Gare Chapelle Dieu ». Elle fut rebaptisée en mémoire de Joseph Laubain (1877-1952), écrivain, poète et dramaturge gembloutois, écrivain en wallon, notamment auteur des paroles de notre chanson locale « Efants d’Gibloux » ou « Djiblou »(musique de Victor Debecker). Cette chanson est devenue le chant officiel de la ville par décision du conseil communal du 8 novembre 1949. En 1921 Laubain envoie un texte (li botique du coutli) concernant la coutellerie à la Société littéraire wallonne, qui ne fut jamais publié. Pierre Nederlandt nous en parle dans son livre « La Coutellerie à Gembloux » (page 32-33). Laubain écrit entre autres: « Po l’bonheur des efants » – « Djalote » – « Les r’nâds » (comédie en un acte) – « Li vix lodjiss » (comédie en deux actes), ouvrages présents à la bibliothèque Chiroux à Liège. Certains de ses livres sont disponibles à la bibliothèque Chiroux à Liège, ici Livres biblio Federation Wallonne. |
DEPUIS CHAPELLE DIEU VERS L’AVENUE DES COMBATTANTS
En haut, l’avenue des Combattants et la propriété du docteur Frisque.
On notera sur le pignon gauche de la dernière maison de la rue, côté gauche, une niche murale avec une statuette.
A droite, la chapelle Dieu. La rue monte sur la gauche
On voit à l’arrière-plan à droite, au-dessus du toit de la chapelle, le clocheton, ou campanile
du château-villa des Champs Elysées.
Sous un autre angle
DEPUIS L’AVENUE DES COMBATTANTS VERS CHAPELLE DIEU
début de la rue
En descendant la rue, sur la gauche, on entrevoit la villa Marguerite (Piérard) de l’avenue des Combattants
au bout de la rue, à gauche la rue de Mazy, à droite le passage à niveau et la rue Chapelle Dieu
photo © Yves De Dekker – 2011 – depuis une grue lors des travaux au complexe sportif de la rue Chapelle-Dieu
remerciement à DROCHMANS Lucienne.
à gauche de la photo après le passage à niveau – à droite la rue de Mazy –
en haut à droite le hôme fondation Joseph Denamur