Contiguë au moulin de dessous-le-mont (Rue du Moulin), aux pieds des remparts, se trouvait une ferme dite du Coqlet, incendiée en 1583, pour la plus grande partie déjà ruinée en 1594 *.
On peut supposer qu’elle portait le nom d’un lieu dit, provenant de coq, au sens de moulin, d’après le CRAHG.
La rue du Coquelet relie le croisement de la rue du Moulin et des Volontaires au rond point devant le chemin de fer, chaussée de Charleroi. En 1926, une cité ouvrière est aménagée sur l’emplacement d’anciennes briqueteries, en haut de la rue.
Le quartier du Coquelet est délimité par la Chaussée de Charleroi, l’Avenue de la Faculté d’agronomie, la rue Hamburisn et la rue des Volontaires.
* La Ville et le Comté de Gembloux – L. Namêche – éditions Duculot 1922 – page 208
Pendant la 1e guerre mondiale. A droite, l’entrée de la rue du Coquelet, entre l’hôtel Zénon, et la maison Gailly, fabrique de harnais. A l’arrière plan à gauche, le passage à niveau du chemin de fer, an centre et à droite, la villa Romaine et la sucrerie de Le Docte.
En descendant la rue, à droite, l’ancien (et beau) portail de l’entreprise Daiche. J’ai été à l’école et à l’armée avec les deux fils – les jumeaux – Patrick et Alain
Un peu plus bas, on voit à droite l’ancienne école primaire de quartier, antenne de l’Athénée Royal. Dans le fond à gauche, le virage de la rue devant le parc Debouche; à droite après la voiture bleue, l’entrée de la cité du Coquelet.
Un peu plus bas. A droite l’entrée de la cité
On continue à descendre la rue. à droite, la cité. A gauche, le parc Debouche, au fond, le bas de la rue Hambursin.
A gauche, la rue continue vers la rue du moulin, tout droit, la montée vers la rue Hambursin. Sur la droite se trouve une petite ruelle qui jadis, remontait jusque la chaussée de Charleroi. Je l’ai empruntée plusieurs fois avec mon papa pour aller chercher des planches chez un marchand de bois à la chaussée de Charleroi
La fin de la ruelle qui a été condamnée. Photo prise depuis le fond du parking de la banque
Dans la maison de gauche habitaient mes amis Jean-Marie et Francine, famille Brutin, leur papa Albert qui travaillait à la manufacture, et Titi Poulet, leur maman, que je faisais rire tout le temps.
Au bout de la descente, à droite la rue Hambursin, tout droit, la rue du Moulin
À la fin de la rue, la jonction avec la rue du moulin.
En remontant la rue depuis la rue du Moulin
Pendant mon adolescence – jeune adulte, à gauche il y avait un magasin Cédac (façade claire) tenu par Madame Chauvier. Son mari travaillait aux ateliers du chemin de fer à Flawinne. Il y avait trois enfants, Michel qui roulait bien à vélo et était un as en basketball, la fille aînée Isabelle, et la fille benjamine, Jacqueline. Juste après, un appartement que mon cousin Philippe Depireux et Jo Lemaire occupaient. Ensuite la maison de mon ami Michel Gelinne. A droite, les anciens magasins Masset, électroménager et le parc Debouche. Tout au fond, à droite la rue tourne, en bas de sa côte; on voit la maison grise de mes amis Brutin dont je parle plus haut.
Deuxième partie de la rue et bas de la côte. A gauche, la petite ruelle dont on a parlé avant.
A droite, le parc Debouche
En haut, dans le virage de la rue, sur le trottoir de gauche, naît un escalier qui monte dans la cité du Coquelet
L’escalier qui mène à la cité, avec la maison de Emile Alomaine.
Je pense bien que c’est lui qui travaille au mur..
Depuis le parc Debouche
Presque en haut de la rue à gauche, s’ouvre la cité. Un petit tour s’impose…
En sortant de la cité, on reprend à droite et on termine la rue qui aboutit chaussée de Charleroi au rond-point.
vue vers le rond-point de la gare
vue depuis le rond-point de la gare