Elle formait jadis la rue des Remparts (avec la rue Docq). Elle part du croisement avec les rues Théo Toussaint, Léopold, et la place de L’Orneau. A son pied – à peu près – se trouvait l’ancienne porte Saint-Nicolas des anciens remparts (n° 13 sur le plan de Grammaye). A sa fin (croisement avec la rue Sainte-Adèle – rue du Chien Noir – rue Docq) se trouvait la porte du Chien Noir (n°14 sur le plan de Grammaye)
La rue tient son nouveau nom de Claude-Charles Pierquin, dit de Gembloux (1798-1863), poète, docteur en médecine et inspecteur à l’Université de France, et qui séjourna dix ans dans notre ville. Érudit polyvalent, il était natif de Bruxelles. Sa mère Jeanne Josèphe Dieudonnée BAU était native de Gembloux.
Claude-Charles PIERQUIN
(Estampe d’Auguste Legrand.)
source: R. Burgess, Portraits of doctors & scientists in the Wellcome Institute, London 1973, no. 2309.1
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documents remerciements à Martine De Doncker
à droite le haut de la rue Pierquin prolongée par la rue Docq.
depuis la rue Pierquin, on voit dans le virage de la rue Docq, la disparition de « la villa des Remparts »
ou « villa Matagne » remplacée par les installations de l’Athénée Royal
le haut de la rue vue depuis le parc.
1976 – © Balat – IRPA
Le bas de la rue
En montant la rue – au passage pour piéton, à droite, la rue Sainte-Adèle
à gauche la rue du Chien Noir, tout droit, la rue Docq
(voir les articles pour ces rues dans le menu déroulant à gauche)
le côté droit de la rue en descendant – 1974
© KIK-IRPA, Brussels (Belgium), cliché M120382
Gembloux est et a été 